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Loire Atlantique 6 / 10 / 2016

Nouvelle grève à l’Accoord de Nantes mercredi 12 octobre

Depuis plusieurs semaines, les salariés de l’association qui gère les centres de loisirs et les centres socioculturels de Nantes sont en colère. Ils protestent après le licenciement de l’une de leurs collègues.

Ils étaient 90, environ, réunis ce mercredi matin sur leurs heures d’information syndicale, à la Manufacture, à Nantes. Parmi les salariés de l’Accoord présents, la majorité a voté pour une journée de grève, mercredi 12 octobre. Avec l’appui des trois syndicats de la structure FSU, CGT et FO. Certains centres de loisirs pourraient donc ne pas accueillir d’enfants à cette date. Ou connaître des perturbations.

« On va pénaliser les familles, c’est sûr, concèdent certains. Mais c’est maintenant ou jamais que nous devons maintenir la pression et nous faire entendre. »

Depuis plusieurs semaines, les salariés de l’Accoord protestent contre le licenciement (article ci-dessous) d’une de leurs collègues, survenu au mois d’août. Un licenciement qu’ils estiment « injustifié » mais qui sera réellement effectif le 23 octobre, à la fin de la période de préavis de cette salariée.

source: Ouest-France/Anne Augié

ci-dessous article paru le 21-09-2016

 Les salariés de l’Accoord se mobilisent pour leur collègue nantaise. Ils étaient environ 130 à se réunir ce mercredi midi au centre technique de la structure chargée de la gestion du périscolaire et des centres de loisirs. L’une de leurs collègues a, selon eux, connu un « licenciement abusif » en août.

 

En ce mercredi, des familles nantaises qui confient leur enfant à l’Accoord ont pu rencontrer des difficultés en début d’après-midi. Quelque 130 salariés de la structure chargée de la gestion du périscolaire et des centres de loisirs pour la ville de Nantes s’étaient donné rendez-vous de midi à 14 h 30. Ils souhaitaient évoquer le sort de l’une des salariés de la structure, licenciée au mois d’août. Pour l’intersyndicale de l’Accoord, comme pour les salariés présents ce midi, il s’agit d’un « licenciement abusif ».

« Ce qui est arrivé à notre collègue peut arriver demain à n’importe lequel d’entre nous. C’est la conséquence de méthodes de management que nous déplorons », témoignent les salariés rencontrés. Ils devaient décider de nouvelles actions à mener et reprendre le travail aux environs de 14 h.

chaud ! chaud ! chaud !

leurs revendications concernent la réforme des retraites: Appel à la grève dès le 5 décembre

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