Le gouvernement doit en conséquence répondre immédiatement aux cinq confédérations syndicales sur les points de leur lettre adressée au Premier ministre et au Président de la République :
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interdire les licenciements dans tous les secteurs bénéficiant d’aide publique [et, pour FO, contrôler strictement toute procédure de suppression d’emploi quant à son motif en rétablissant une autorisation administrative];
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engager un processus de revalorisation des emplois des secteurs essentiels (la «deuxième ligne»);
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annoncer le retour définitif aux dispositions de la convention 2017 de l’assurance chômage en abandonnant la réforme imposée en 2019;
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annoncer le retrait du projet de réforme des retraites;
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rétablir les moyens de représentation collective des salariés en revenant sur les ordonnances travail, et notamment les CHSCT.
FO met en garde : les salariés ne doivent en rien subir les conséquences de cette situation.
Pour FO le pouvoir d’achat des salaires, pensions et minimas sociaux demeure une préoccupation et une revendication légitime.